Championnat du Rhône FSGT.

Dimanche se dérouleront les championnats du Rhône FSGT. Les coureurs franchevillois y seront nombreux, et seront même pour certains d’entre eux parmi les favoris. Profitons de cette relative proximité (Tramoyes) et d’une belle chance de résultat, pour venir les encourager.

Disparition de Jean, Jacques Robert.

Nous vous faisons part de la disparition dimanche 28 avril 2019 de notre père Jean Jacques ROBERT décédé à l’âge de 90 ans à l’hôpital Antoine Charial – Francheville où il résidait depuis 2014. 

Une page du Vélo Club Francheville se tourne avec son départ, lui qui était impliqué dans la vie du Vélo Club depuis la première licence de son fils ainé Bernard en 1972 et qui avant d’être Président puis Président d’Honneur fut membre correspondant et trésorier. Avec le soutien permanent de son épouse Josette, il aimait tant les moments d’échanges et d’amitiés partagés avec les cyclistes et leur famille ainsi qu’avec les nombreux sympathisants, que ce soit lors d’un stage dont le Vélo Club a le secret ou plus simplement autour d’une table où son esprit positif et son humour faisait mouche. 

Ses obsèques auront lieu vendredi 3 mai 2019, et pour les personnes qui souhaitent lui rendre un dernier hommage voici le déroulement de l’après midi : 

– 13h30 bénédiction suivie de la mise bière du corps à la Chapelle de l’hôpital Antoine Charial 40 Avenue de la Table de Pierre – Francheville. 

– 15h00 cérémonie religieuse à l’église Saint Roch – rue de la Cure à Francheville le Haut. 

– 16h30 inhumation au nouveau cimetière de Tassin – 12 Avenue Mathieu Misery. 

Enfin pour celles et ceux qui le désirent, le verre de l’amitié si cher à Jean Jacques et Josette sera proposé à la salle d’animation de l’hôpital Antoine Charial afin de se séparer dans un moment de convivialité en évoquant les nombreuses anecdotes et réjouissances partagés avec notre père. 

Ses enfants Bernard, Alain, Laurent et leurs épouses. 

Une passion pour le vélo et la nature qui ne l’aura jamais quitté. Août 1953, passage à la Case Déserte lors de l’ascension du Col de l’Izoard à une époque où les cols Alpins n’étaient pas encore goudronnés.